Si le terme de joystick renvoie aisément à la manette sur laquelle nos enfants s'acharnent à longueur de journées devant leur console de jeu, l'offre déployée par Conrad dans son catalogue s'inscrit dans un contexte d'utilisation plus général, voire pour des applications plus professionnelles.

Des joysticks pour différents usages

Le principe de base reste le même: celui d'un périphérique informatique composé d'un manche posé sur un socle, que l'on actionne pour lui imprimer un mouvement dans plusieurs directions, avec éventuellement des boutons sur lesquels on peut presser. Plus qu'un dispositif de pointage, le joystick devient un outil capable de prendre en charge des commandes multiples et complexes, selon la technologie qu'il utilise.

Gagnant en particulier en ergonomie, il s'enrichit avec le temps de fonctionnalités diverses, devenant même parfois interactif lorsqu'ils se trouve doté d'un système de retour de force ou qu'il permet à l'utilisateur de ressentir des vibrations mécaniques.

Une vitrine composée de produits performants

Reste que Conrad, avec sa sélection de modèles, a surtout misé sur la robustesse, pour des produits soumis, par essence, à un usage imposant des garanties de durabilité. Il en résulte une vitrine de quelques dizaines de références conçues pour assurer des fonctions de commutation diverses.

A l'instar de la gamme déclinée par APEM ,spécialiste reconnu dans le domaine du joystick, il s'agit de proposer un ensemble susceptible, non seulement, de convenir à différents contextes d'utilisation, mais également capable de répondre à différents environnements de connexions.Ajoutons que la plupart des joysticks affichent un indice de protection de type IP65, IP67 ou IP68, ce qui garantit aux produits une garantie d'étanchéité à la poussière et aux projections d'eau.

Des produits actionnables facilement

On observe donc que, concernant le type d'actionnement, on a souvent affaire à un levier plus ou moins volumineux selon le type de préhension souhaité et l'usage auquel on le destine. Avec un embout cylindrique allongé fin ou au contraire plus court et massif, on peut le solliciter selon 1 ou 2 axes, d'avant en arrière, de droite et de gauche ou encore lui imprimer des mouvements de torsion circulaire. Le fait de le relâcher aura parfois pour effet qu'il retrouve sa position initiale - typiquement centrale. Métallique droit ou encapsulé dans une coque en plastique, notre joystick peut s'apparenter à un levier de vitesse, mais il peut encore prendre la forme d'un bouton que l'on actionne de manière multidirectionnelle.

Et toutes les connexions sont rendues possibles.

En fonction de son contexte d'utilisation, Il faut ensuite que le joystick puisse trouver sa place dans des environnements diversifiés. Selon les cas, il reposera sur un socle que l'on devra enficher à l'aide de vis directement ou par l'intermédiaire de bornes à enficher. Ou bien il sera prévu pour une introduction droite et une connexion avec soudure, ou par le biais de pattes ou d’œillets à souder sur circuit imprimé. Pour certains matériels, la connexion devra s'effectuer sur un connecteur par l'intermédiaire d'un câble à extrémités libres.

Certains raccordements utiliseront une nappe avec une barrette à ressort. Quelques modèles APEM se présentent sous la forme d'un levier reposant sur un socle avec touches programmables et un port USB pour un interfaçage facilité.